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Paysages

Un ensemble de tableaux à l'huile de différents formats depuis 2017.

Ce travail montre des paysages comme espaces de cultures ou comme lieux de promenades, sur ces "chemins noirs" indiqués sur les cartes, qui nous mènent à la rencontre de ces "tiers paysages" évoqués par Gilles Clément, devant lesquels notre regard réalise combien "la nature aime se cacher" (Héraclite).

 

La peinture du paysage, c'est aussi, (tenter d'ouvrir une fenêtre sur l'infini, comme le va et vient entre ce qui s'offre et ce qui se cherche (Cheng); une approche poétique mue par une conscience du réel terrestre où, dans le désarroi de l'intellect, la terre recommence (Bonnefoy).

Une application de longue durée, un exercice patient de la peinture , dans le but de susciter un regard exigeant sur la question du réel, une dialectique entre l'évidence et le mystère.

Une invitation à la contemplation et conjointement à l'effacement de soi au profit de ce qui nous dépasse.

Passages

Un choix de tableaux depuis 2010 à l'huile et à l'acrylique.

Dans ce travail la question n'est pas de rendre visible l'invisible mais comment toucher à ce qui échappe à la visibilité, approcher l'indicible, faire avec l'absence... ouvrir des brèches dans le réel, une épiphanie du réel.

Enfance

Une sélection de tableaux à l'huile, de différents formats, réalisés de 2012 à 2014.

Les enfants du dehors, catalogue publié par le Festin, éditeur bordelais, rassemble les Photos de l'ensemble des œuvres de cette série. 

 

 

Les Douze

Douze Profils à l'acrylique du même format 100x100 cm.,peints en 2009.

Peinture par retrait (per via levare) de personnages ambigus aux traits peu définis qui semblent pris dans un questionnement moral. Si l'on y voit une représentation des apôtres, on peut s'interroger sur l'expression que chacun affecte, effroi, déploration, culpabilité, résignation, indifférence et... chercher Juda sans le trouver. Leur forme indéterminée qui empêche l'identification précise de chacun nous pousse à la question non pas "qui est" mais "n'y a t'il pas en chacun (de nous) un Juda qui sommeille" ?

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